Solidarité, pour payer la Suisse répond favorablement

La Suisse voulait depuis les années 70 une desserte ferroviaire vers l’aéroport de Bâle Mulhouse. Refusé définitivement vers la fin du règne de François Hollande. Présente pour payer pour la liaison « tram de St-Louis » ; présente pour payer des parkings dans la région des Trois Frontières. La Suisse accepta jadis que le village de Biederthal se branche sur les réseau « tout à l’égout » mais faute de moyen la commune avait renoncé à cette offre. La Suisse voulait relier le Tram 10 vers Burg en passant par Biederthal. Refusé. La Suisse se montre généreuse avec son voisin la France. Que pouvons-nous dire de positif que fait la France pour la Suisse. La France est ingrate après tout ; j’aimerais l’avis des autres. Est-ce que la Suisse profite de la France ? Est-ce la France qui se fait avoir par les Suisses ? J’aimerais bien vos avis.
Maintenant, la France veut que la Suisse assume la totalité des droits au chômage des frontaliers. La France est mauvais payeur lorsqu’elle doit retourner à la Suisse une partie de l’impôt sur le revenu ; tous les ans, la Suisse doit courir après ce fric.

LA France a toujours traité la Suisse avec mépris et regarde ce pays de haut. Je confirme ton sentiment.

Désolé, mais ça c’est normal. Ce n’est pas à la France de nous indemniser le chômage alors qu’elle n’a pas reçu un centime de nos cotisations.

Oui, effectivement… Dans mon canton nous avons failli passer à l’impôt à la source à cause de ça…

Je croyais que la Suisse verse une partie des cotisations chômage à la France. Sauf erreur personnelle, les deux premiers mois d’indemnisation chômage français est payé par la Suisse. (Il faudrait que je lis ce qu’avait écrit Jean Luc Johaneck)

Autrefois la Suisse reversait une très grosse partie de nos cotisations à l’UNEDIC. Maintenant c’est fini, l’Union Européenne a interdit cette pratique qui pourtant était pleine de bon sens.

Si la France veut que la Suisse rembourse les indemnisations chômage versées aux frontaliers, alors elle doit en donner le montant précis. Or elle en est incapable, son administration ne sait pas à qui elle verse ses indemnités, frontaliers ou pas.

La Suisse verse alors des montants arbitraires, qui correspondent comme tu dis à quelques mois, qui sont hélas très loin de la vérité…