Rachat du deuxieme pilier pour couple de frontaliers et eviter future complications en cas de divorce

Bonjour,

Je suis en train d’examiner differents investissements pour notre situation de couple de frontaliers travaillant a Geneve. Nous sommes arrives il y a peu d’annees. Je suis en CDI et mon epouse en CDD avec des fluctuations du temps partiel (15%, 30%, 15%, etc.) en cours d’annee. Pour l’instant je recherche des solutions avec peu de risque comme le rachat de deuxieme pilier et les versements sur pilier 3a (en devenant quasi-residents pour 2021).

Quelle serait la meilleure approche pour investir de maniere equilibre entre nous deux, de maniere a ce que si l’avenir nous reserve le pire (divorce) nous pouvons etre le plus juste maintenant pour eviter d’ajouter des conflits (partage 2nd pilier, etc.) et favoriser un divorce a l’amiable ?

Le mieux serait il de passer en separation de biens et de faire des versements du meme montant sur chacun des 2nd piliers ? De cette maniere si tout va bien nous pouvons les debloquer ensemble pour un achat immobilier futur, et dans le pire des cas nous garderons le meme montant sur chacun de nos 2nd piliers en cas de divorce ?

Pour donner des exemples de chiffres:

  • pour mon epouse: salaire varie selon temps partiel (quelques mois a 15%, d’autres a 30% puis d’autres a 15% a nouveau) pour un total de ~25K par an. Contribution 2nd pilier devrait etre de 1K « personnel » (c.a.d preleve sur son bulletin de salaire) et 1K employeur, montant de rachat maximal inconnu
  • pour moi: salaire ~100K, contribution 2nd pilier 5K personnel + 5K employeur, montant de rachat maximal ~170K

Tout conseil serait le bienvenu.

Bonjour,

Cette question est vraiment propre à chaque couple et au fonctionnement qu’il souhaite mettre en place.

A priori, ceci ne change rien pour le partage des piliers en cas de divorce.

Le partage se faisant sur le montant épargné pendant la période de mariage,

et 3e piliers me semble être la meilleure solution.

Comme vous êtes mariés, le couple est l’unité fiscale pris en compte pour le remboursement d’impôts.