J’ai travaillé pendant 30 chez le même employeur et mon contrat se terminera le 31 juillet. Il m’a informé qu’il ne me paiera pas mon solde de vacances que je n’ai pas pu prendre car j’ai été longuement malade (problème cardiaque) et comme je serais à l’assurance invalidité je n’ai plus besoin de me reposer car c’est le but des vacances.
Est-ce que quelqu’un connaît un article de loi que je pourrais lui montrer. Je n’ai pas d’assurance juridique.
De combien de jours parle t’on ?
Si le montant est important vous devriez vous rapprocher d’un avocat spécialisé dans le droit du travail afin de vous défendre.
chez nous pour que les vacances passent en maladie, il fallait prouver que l’on n’avait pas pû se reposer (un collègue avait fini par abandonné, état tombé malade à l’étranger.
Nous il nous ôtent des vacances si on est malade, j’estime que la partie restante m’est due.
Pour moi c’est une grosse somme, le problème est que je n’ai pas d’assurance et je n’ai pas les moyens financiers. Je me suis renseignée pour l’aide juridique je n’y ai pas le droit.
Pendant votre maladie, vous n’avez pas du cumuler de congés. Donc il s’agit uniquement des congés avant votre arrêt ou avant votre prise en charge par l’assurance de l’employeur que vous pouvez reclamer
Bonjour
C’est tout à fait ça, c’est un solde de vacances avant mon arrêt maladie, sauf que l’argument de mon employeur est que le but des vacances est de se reposer, comme je suis en rente invalidité, il estime que le but des vacances n’existe plus.
Je ne suis évidemment pas d’accord car j’ai travaillé pour obtenir ce droit.
J’aimerais trouver une loi, un code, un arrêté qui indique que j’ai le droit à ses vacances.
Ce que j’ai trouvé c’est uniquement en cas de licenciement
Oui j’ai lu et je vous remercie beaucoup pour vos recherches. Je vais lire l’ATF, car malheureusement pour moi cela concerne les fonctionnaires de la ville de Lausanne.
Aucun des arguments que vous m’avez donné ne fonctionnent, le seul qui dit que l’on a droit au paiement des vacances concerne les fonctionnaires de la ville de Lausanne. Les frais d’avocats reviendraient pratiquement au montant qui m’est dû, voir plus si recours.
Les avocats, ne donnent aucun renseignement savoir si j’ai raison hormis leur salaire horaire qui fait vite peur et les syndicats non plus car pas membre.
Si quelqu’un a une autre idée
J’ai pris rdv dans une permanence juridique (50fr) j’espère tomber sur quelqu’un qui maîtrise le droit du travail sur Genève
