Vente véhicule franco-suisse - Paiement franco-suisse

Bonjour,
Une personne suisse habitant en France souhaite acheter mon véhicule pour rouler en France (lié à sa nouvelle résidence).

Initialement en cash, c’est difficilement possible car (si ca peut être utile pour d’autres personnes…) :

  • A la base la transaction en liquide de particulier à particulier est autorisée jusqu’à hauteur de 10000 €
  • Un écrit est nécessaire au-delà de 1 500 € pour prouver les versements (ceci est la théorie)
  • Mais…votre banque francaise vous limitera les dépots liquides à 1500 € plus ou moins par MOIS (ceci est la pratique)

La personne n’ayant pas de compte bancaire en France, n’a pas la possibilité de faire un chèque de banque

Je sais qu’en Suisse il est (ou était) coutume d’utiliser le liquide ou le virement pour payer sa voiture.
La personne propose alors de me faire un virement depuis son compte suisse en euros (cela implique aucune visibilité des fonds durant 1 à 3 jours…) et de venir avec elle à sa banque.

Est-ce qu’il vous est arrivé la meme situation ? Vous êtes partis à la confiance ainsi ? Y a t’il eu des soucis particulier ?

Merci d’avance pour votre expérience ou conseil =)

nouveau système où l’argent est déposer et sécuriser, aller je cite paycar.
à voir si acheteur suisse peux y accéder.
Le virement bancaire n’est pas sécurisé ou alors il faut donner les clefs quand l’argent est vraiment sur ton compte…entre nous c’est ce que font de nombreux concessionnaires.

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Et pourquoi ne pas prendre le liquide et le garder chez toi? Personnellement, je ne laisse que le minimum à la banque et tous mes payements se font en liquide.
Pour la voiture, il est vrai qu’il est courant d’y régler en espèces. J’ai d’ailleurs une anecdote: quand j’ai acheté mon véhicule, le concessionnaire voulait un chèque de banque. Le banquier m’expliqua que cela eût été trop onéreux en frais bancaires et descendit avec moi à la caisse pour retirer du liquide. Je traversai Genève en tram et en bus avec plusieurs dizaines de milliers de francs dans la poche intérieure de mon blouson. Je puis avouer que j’étais rien moins que rassuré. Mais la fille de l’accueil ne fut pas plus étonnée que cela de me voir arriver avec mon gros paquet (il n’y a rien de vicelard dans cette dernière phrase).

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