Enquête sur la mobilité des frontaliers

Bonjour ! Nous avons mis en place au GTE une enquête sur la mobilité des frontaliers et les sujets transports dans la région.

Cette enquête traite les habitudes de mobilité en général et certains sujets de transports. Le GTE utilisera ensuite les résultats pour agir dans le cadre de la commission transports.

Votre avis nous permettra d’être représentatifs et d’agir sur ces sujets. Merci beaucoup par avance à ceux qui répondront !

salut manon
n’y a t-il pas assez d’adhérents (30000) au GTE pour faire une enquête au forum des frontaliers?
le probleme est que si nous voulons voir les résultats de cette enquête il va falloir adherer a votre groupement, non? perso je ne donnerai pas 80 euros pour les voir…

Bonjour !

Alors pour répondre à votre question, vous imaginez bien que parmi nos adhérents, tous ne vont pas répondre à l’enquête proposée. De plus cette enquête a pour but de pouvoir agir ensuite selon l’avis des frontaliers en général, pas uniquement selon l’avis de nos adhérents ! Le but de la commission est d’améliorer les transports pour tous, pas uniquement pour nos adhérents.
C’est pour cela que nous proposons l’enquête au plus grand nombre, afin d’être le plus représentatifs possible.

Par ailleurs, vous constaterez que notre site internet est consultable par tous et qu’une très grande partie est accessible sans compte adhérent. Les actualités en font partie. Les résultats de l’enquête seront donc bien visibles par tous, sur le site et la page Facebook.
Cela dit, le prix de l’adhésion n’est pas le prix du résultât de l’enquête. Notre association offre un grand nombre de services annexes.

En espérant vous avoir répondu, je vous remercie grandement pour votre réponse et vous souhaite un beau week end !

Merci pour la pub du GTE

vs n’avez jamais été là pour les frontaliers avec des sujets sensibles comme la CMU entre autre, et, je ne vois pas comment cela pourrait changer si ce n’est que pour vos services annexes.

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N’est pas le président du GTE qui a dit très rapidement qu’il fallait qu’i aille à la CMU ?
Si ma mémoire est bonne leur président avait indiqué qu’il fallait que tout le monde participe à l’effort de la France. Même un peu après il est apparu sur une liste côté PS ( c’était l’époque de Hollande) pour des élections.

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Elle est bien votre enquête sur les frontaliers suisses. Pour info, il y en a aussi quelques uns en Alsace, ce serait bien de les intégrer dans cette étude.

J’étais membre du GTE jusqu’au jour où votre organisation a milité pour la suppression des assurances santé privées pour les frontaliers et passage de tous les frontaliers à la CMU avec multitude d’arguments faux diffusés par votre président ouvertement socialiste. Tous les frontaliers ont perdu en souplesse et pouvoir d’achat avec cette réforme que vous avez défendu. Ce jour, je vous ai renvoyé ma carte de membre du GTE et j’ai rejoint le CDTF comme beaucoup de frontalier, car le CDTF a, lui, pour mission de défendre les intérêts des frontaliers et à de nombreuses reprise vous a ridiculisé en gagnant au tribunal et à la Cour Européenne de Justice des causes alors que vous continuiez à dire le contraire.
Désolé, mais le GTE a depuis perdu toute crédibilité et à ce jour seul le CDTF poursuit des actions afin de défendre les intérêts travailleurs et retraités frontaliers.
Vu votre couleur politique clairement affirmée (au lieu d’une totale neutralité qui était escomptée), je doute que votre sondage ne reflète la réalité de frontaliers, mais plutôt un programme politique très marqué auquel le GTE adhère largement.

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j’oubliais, manon du GTE, je suis venu manifester avec Jura au sujet de la CMU frontaliers pour dire notre desaccord, au sujet du salon des frontaliers à Annemasse, vous n’avez rien voulu entendre, réponse:
le sujet ne ns concerne pas…votre patron ayant refusé de nous entendre

L’avenir de la mobilité à Genève est transfrontalier

Alors que Pierre Maudet convoque les «états généraux des mobilités», certains experts portent le regard au-delà de la frontière. C’est là qu’il faut investir, assure par exemple Sébastien Munafo, directeur d’un bureau de recherche
L’avenir de la mobilité dans et autour de Genève est sans doute l’un des enjeux majeurs de ces prochaines années dans le bassin lémanique. Inaugurée au début du mois de septembre au bâtiment historique des Transports publics genevois (TPG) à la Jonction, une exposition met en lumière l’évolution de cette problématique, de la Belle Epoque à nos jours. Elle retrace en particulier l’essor de la «Reine Voiture», qui a connu ses heures de gloire parallèlement à plusieurs décennies de prospérité. Avec les conséquences que l’on connaît et qui se font encore sentir aujourd’hui.
Les ministres successifs qui ont eu la charge de ce dossier ont tous cherché des solutions pour sortir des blocages provoqués par l’excès de ce qu’on appelle le trafic individuel motorisé, connu par les spécialistes sous l’acronyme TIM. Le grand sondage lancé par Luc Barthassat en 2014 obtint plus de 12 000 prises de position qui servirent ensuite de base au projet de loi pour une mobilité cohérente et équilibrée (LMCE), approuvée par le peuple genevois en 2016. Le projet a par la suite été amendé par le Grand Conseil pour l’étendre aux «liaisons transfrontalières directes».
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