Démarches suite inscription à la LAMAL

Bonjour,

J’étais inscrit comme des milliers de frontaliers auprès d’une assurance privé en France. Au 1er juin 2015, je me suis inscrit à la LAMAL afin d’éviter la CMU. A ce jour mon inscription à la LMAL est faite, j’ai ma carte d’affiliation à la LAMAL. J’ai reçu mon formulaire E106/CH. J’ai envoyé ce dernier à la CPAM de mon département.Celle-ci m’a envoyé en 1er temps un dossier qui concerne une tierce personne. Puis après contestation par lettre avec AR, ja’i reçu un courrier, mais je ne fais malheureusement pas confiance à la CPAM et soupçonne celle-ci de m’inscrire, au travers de leur formulaires à remplir à la CMU. Est-il possible que quelqu’un me dise précisément les démarches et formulaires qui faut remplir et qui me permettront de recevoir une carte vitale ? Merci pour votre aide.

Ce gouvernement est très mal intentionné, ceux sont des socialistes qui ne cherchent que le fric des gens. Je vous conseille de vous adresser au CDTF à St-Louis. Quant à moi, j’ai le même problème, j’ai assuré en Suisse tous les membres de ma famille car je ne veux pas donner le moindre centime à la France car j’estime que je contribue assez à la solidarité nationale par mes devises que je rapatrie mensuellement depuis 25 ans. J’ai la chance d’avoir une femme qui possède la nationalité suisse, sans le moindre problème je pourrai déclarer mon adresse principale en Suisse pour y résider le temps nécessaire pour refaire le choix de la Lamal dans les règles de l’art, sans que la France puisse mettre son grain de sable. Vous avez certainement des possibilités pour élire provisoirement domicile en Suisse, vous pouvez louer une chambre sans confort sous la toiture pour moins de 150 FRs mensuellement, l’essentiel est d’avoir une adresse ; voyez avec un camarade de travail. Au bout de 6 mois vous revenez en France et vous faites votre choix du régime d’assurance. Vous avez également la possibilité d’écrire au Conseil fédéral suisse « Bundeshaus » 1003 Bern pour demander comme je l’ai fait de bien vouloir intervenir auprès de Bruxelles pour que le dossier des frontaliers soit jugé en priorité. Il faut agir et ne pas se laisser faire. Le nombre fait la force.