ok merci. Je ferai les recherches sur le net
Si ce nest pas déjà fait tu peux faire la liste des SSII sur geneve et Lausanne, yen a quelques unes françaises en plus genre altran ou sqli, ils ont des offres en ligne mais tu peux aussi postuler directement.
Bonjour,
Beaucoup de messages donc je nâai pas tout lu et dĂ©solĂ© si je rĂ©pĂšte des choses dĂ©jĂ Ă©voquĂ©es.
La base: avoir un CV bien présenté, si possible avec des recommandations sur Jobup.ch.
Ensuite, un profil LinkedIn, en français et anglais minimum, bien rempli, avec une photo de qualité pro, et si possible des connections sur GenÚve et Vaud.
Enfin, fréquentez les meetups de GenÚve et Lausanne pour étoffer votre réseau.
Bon courage.
Merci simwyck.
Câest ce que je fais dĂ©jĂ . Je sais que câest la base. Je finirai pas dĂ©crocher quelque chose
Donc vous ĂȘtes sur la bonne voie
Courage, décrocher un emploi en Suisse peut prendre du temps, surtout à GenÚve. Lausanne est un peu moins saturée.
Si vous ĂȘtes dans le conseil IT, il y a de rĂ©els besoins mais la concurrence est rude aussi donc il faut savoir se dĂ©marquer.
Excellent conseil.
Un bon profil bien fait sur LinkedIn, en anglais de prĂ©fĂ©rence, quelques relations et câest gagnĂ©, il nâen faudra pas plus.
MĂȘme les entreprises bĂąloises attaquent en anglais, la mĂ©connaissance de lâallemand ne semble pas constituer un frein particulier si on peut combler ce manque avec lâanglais.
Dâailleurs, je reste Ă peu prĂšs sĂ»r que dans les grandes firmes bĂąloises, ils prĂ©fĂ©reront quelquâun qui parle anglais et pas allemand Ă quelquâun qui parle allemand et pas anglais.
Concernant les adresses mail du style « le boss », alors lĂ je rejoins mes semblables, surtout ne vous servez jamais de cette adresse pour communiquer avec dâĂ©ventuels employeurs. Câest con mais ce petit dĂ©tail qui pour vous est sĂ»rement insignifiant, peut faire que vos CV partiront directement Ă la poubelle Ă la simple lecture de votre adresse e-mail.
Oui je sais, je nâecris jamais cet email dans mon CV
AprĂšs 2 ans de recherches ciblĂ©es infructueuses dans un domaine dit « porteur » en Suisse, jâen suis arrivĂ© Ă la conclusion quâil Ă©tait tout simplement I-M-P-O-S-S-I-B-L-E de trouver du travail si on habite pas Ă proximitĂ© de la frontiĂšre ou si on accepte pas un salaire au rabais.
Beaucoup de sites vendent du rĂȘve sur la Suisse (dont un blog trĂšs connu) mais Ă la finale câest juste du temps perdu.
Jâai un CV plutĂŽt pas mal (sans me vanter, dâailleurs jâai dĂ©crochĂ© des entretiens dans des organisations assez prestigieuses par le passĂ©) mais il faut se rendre Ă lâĂ©vidence, les postes (trĂšs) qualifiĂ©s sont « rĂ©servĂ©s » aux locaux.
Tentez quand mĂȘme votre chance mais ne vous faites pas trop dâillusionsâŠ
NavrĂ© de voir que vos recherches ne donnent rien, jâaimerai juste nuancer ce paragraphe en ajoutant lâimportance fondamentale de se constituer un rĂ©seau.
Certes difficile lorsquâon nâhabite pas en Suisse ou France voisine mais pas impossible.
certaines entreprises pratiquent la préférence nationale
et aussi pas mal de Francais font lâerreur de croire que la suisse est la france et pensent a tord que leur CV qui dĂ©chire ou leur grandes Ă©coles (reconnu en france uniquement) suffisent Ă obtenir la place.
Mais je pense que torkank a pas tord, un reseau permet parfois dâetre pistonnĂ© ou du moins de postuler AVANT que lâoffre est sur le marchĂ©.
Jâai par le passĂ© postulĂ© a des offres ou je pensais rĂ©ellement que lâoffre etait faite pour moi, car ca correspond a 150% a mon parcours (qui est assez atypique) et pourtant jâai direct recu une rĂ©ponse nĂ©gative (et aussi vu que ces gens cherchaient encore plus de 6 mois plus tardâŠ)
Bref jâai pas insistĂ©, pour moi la boite voulait un suisse et refusait un frontalier.
Alors que paradoxalement jâai postulĂ© a dâautres jobs ou clairement je ne pense pas etre le meilleur candidat possible (manque dâexperience dans certains points) et jâai alors reussi a obtenir deux entretiens et ca sâest jouĂ© a un fil Ă lâĂ©poqueâŠ
Vous savez, mĂȘme pour quelquâun qui habite en zone frontaliĂšre, dĂ©crocher le premier emploi est souvent extrĂȘmement compliquĂ©.
Autrefois il fallait habiter Ă moins de 30 kms de la frontiĂšre depuis au moins 6 mois pour pouvoir prĂ©tendre Ă un poste en Suisse. Et mĂȘme avec cette restriction, la concurrence Ă©tait dĂ©jĂ rude et les places trĂšs chĂšres. De nos jours la concurrence sâest Ă©tendue Ă toute lâEurope, la notion de zone frontaliĂšre nâexiste plus, et câest lâEurope entiĂšre qui veut travailler en Suisse.
Que font donc les employeurs ? Ben en toute logique ils trient, vous feriez certainement pareil Ă leur place. Sâils trouvent ce quâils ont besoin chez eux ou en zone frontaliĂšre, ben ils ne vont pas aller recruter en Bretagne.
Si vous nâhabitez pas en zone frontaliĂšre et si vous nâavez pas un profil rare, alors câest clair que dĂ©crocher un poste en Suisse relĂšve de la mission quasi-impossible.
« Jâai par le passĂ© postulĂ© a des offres ou je pensais rĂ©ellement que lâoffre etait faite pour moi, car ca correspond a 150% a mon parcours (qui est assez atypique) et pourtant jâai direct recu une rĂ©ponse nĂ©gative (et aussi vu que ces gens cherchaient encore plus de 6 mois plus tardâŠ) »
Je me reconnais bien lĂ . Jâai postulĂ© Ă des offres pour lesquelles je rĂ©pondais Ă tous les critĂšres (voir mĂȘme au-dessus de ce qui Ă©tait demandĂ©) et silence radio ou rĂ©ponse nĂ©gative. Et je voyais aussi ces mĂȘmes offres sans cesse rĂ©actualisĂ©es de longs mois aprĂšs !
Ca a lâair de beaucoup marcher Ă la prĂ©fĂ©rence nationale et/ou au piston. Pour la prĂ©fĂ©rence nationale, je peux comprendre (mĂȘme si câest navrant que ça ne soit pas affichĂ© clairement dans les offres), mais pour le piston, ça me fait doucement rire. Jâen ai vu beaucoup des « pistonnĂ©s » et câest rarement les plus compĂ©tents pour le poste quâils occupent. Avoir papa qui est copain avec le directeur, jâai toujours trouvĂ© ça un peu lĂ©ger comme qualification.
Quelques faits concrets: dans ma boite on a recrutĂ© sur au moins la moitiĂ© des postes via le rĂ©seau pro, câest Ă dire des personnes qui Ă©taient connues directement de mes collĂšgues. Pour les autres il yâavait toujours une connaissance qui avait travaillĂ© avec le postulant.
90% des personnes recrutées étaient déjà établies en Suisse ou à la frontiÚre.
Donc au début il ne faut pas trop se poser de questions et de prendre le premier boulot qui vient et ne pas hésiter à changer de taf et développer et renouveler ses compétences.
Recruter prends du temps et personne nâa en plus envie de prendre un risque (a fortiori dans une petite boite) avec une personne inconnue.
La préférence nationale, oui elle existe dans certaines entreprises. Mais sachez que quand elle existe, elle vaut aussi pour les habitants des zones frontaliÚres.
Eh bien souvent il ne sâagit pas de prĂ©fĂ©rence nationale, mais de prĂ©fĂ©rence indigĂšne, ce nâest pas la mĂȘme chose. Et câest trĂšs souvent prĂ©cisĂ© dans les offres contrairement Ă ce que vous dites.
Dans ma boĂźte, quand on recrute on ne regarde jamais plus loin que MontbĂ©liard, Belfort et le Sud de lâAlsace, et en Suisse aussi bien Ă©videmment. Ceux qui nâhabitent pas dans ces secteurs nâont pas lâombre dâune chance de travailler un jour chez nous.
Par contre contrairement Ă votre boĂźte, on nâhĂ©site pas Ă embaucher de parfaits inconnus.
En mĂȘme temps, vu les difficultĂ©s rencontrĂ©s avec ceux venant de plus loin, il y a une certaine logique.
Jâai eu un brestois dans mon Ă©quipe, qui rentrait chaque weekend. TrĂšs sympa, trĂšs compĂ©tent, mais totalement incapable de supporter le rythme quâil sâĂ©tait imposĂ©.
Plus jamais, habiter loin est devenu rédhibitoire dans les critÚres.
Et les RH discutent en effet souvent avec les employĂ©s pour amener quelquâun de dĂ©jĂ connu par lâun dâeux.
Bien sĂ»r que ce gens lĂ rencontrent des difficultĂ©s. Jâai un collĂšgue parisien qui fut un temps, partait tous les vendredis aprĂšs-midi Ă 16h pour ne pas louper son train.
Sauf que la prĂ©sence dans la sociĂ©tĂ© est obligatoire de 14h Ă 16h30, premier problĂšme. En semaine il vivait dans un taudis quâil louait pas cher car il ne pouvait pas payer le crĂ©dit de sa maison Ă Paris plus un loyer correct en zone frontaliĂšre.
Ses gosses, scolarisĂ©s sur Paris, nâont dans un premier temps pas voulu le suivre dans lâEst. Pendant deux ans il a donc jonglĂ© entre sa vie professionnelle dans lâEst et sa vie familiale sur Paris. Quand il a enfin rĂ©ussi Ă convaincre toute sa famille dâaller habiter dans lâEst, sa femme a fait une dĂ©pression en arrivant.
Le travail en Suisse il lâa eu, mais Ă quel prix⊠Certains ne se rendent pas compte. Ce collĂšgue qui fait partie de la direction et donc participe aux recrutements, est le premier Ă dire quâil ne faut pas recruter de personnes habitant loin, donc on ne le fait plus, il a Ă©tĂ© le premier et le dernier.
Chez nous ils donnent des primes Ă ceux qui trouveraient un profil recherchĂ©. Sauf que cela nâarrive jamais donc câest Ă chaque fois le parfait inconnu.
manque de pot mon pere est ouvrier et sâentend pas tres bien avec son boss âŠ
Jâai donc pas eu la chance dâavoir ce cas de figure, mais ca doit etre sympa, enfin pour le gars qui recois le poste a condition quâon attend pas grand chose de lui ⊠car si effectivement la boite attends que câest un tueur⊠effectivement le mec risque vite lui meme de se dire que câetais un cadeau empoisonnĂ© âŠ
je suis un gĂ©ologue je cherche un emploi en suisse aussi jâai une expĂ©rience dans le domaine de la voie ferre